Turin et déplacement à vélo

Une journée à Turin avec le comité de jumelage Meythet-Capaci (Sicile).

Trajet en car, puis presque 6 heures à Turin, en liberté.

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Ce que j'ai surtout aimé :

de grandes places, des jardins,
beaucoup de tramways, des bus et des vélos, peu de voitures
(d'ailleurs peu de possibilités de stationnement),
des rue piétonnes, des voies avec des arcades,
des boutiques étonnantes (vins et alcools, petites épiceries ...),
l'immense marché (un bâtiment rien que pour les poissonneries),
les voies piétonnes et cyclables le long du Po.

La priorité n'est pas donnée à la voiture !

Contrairement à chez nous, dans la C2A,
où je suis en colère à chaque fois que je roule à vélo.

J'ai failli me faire renverser samedi 24 mai par une voiture,
en venant d'Annecy, rue de la République, après les 4 chemins
(7 routes maintenant), un carrefour vraiment dangereux,
voiture qui surgissait du chemin des Têts;
la conductrice s'est excusée, elle m'a dit qu'elle était ailleurs !
D'ailleurs cette voie ne devrait-elle pas être à sens unique ?

J'ai des solutions aussi pour aménager ce carrefour des "4 chemins",
mais qui accepterait de les entendre ?

Je suggère que, pour les communes de plus de 3000 habitants,
il y ait au moins deux élus - maire ou adjoints -
qui s'engagent à se déplacer à vélo au moins 500 ou 1000 km par an.

Là, nous aurions peut-être des équipements fiables pour les vélos.

Et dire que le code de la route est applicable aussi aux vélos,
je ne suis pas d'accord ! Le connaître, c'est pourtant nécessaire.

Il est souvent plus prudent de passer au feu rouge,
car on est seul sur l'itinéraire, plutôt qu'être côtoyé par les voitures
(par exemple au Pont de Tasset).

A vélo, on évite surtout d'avoir à mettre le pied à terre.

Pour ceux qui circulent à vélo, je donne trois recommandations :
- être visible,
- savoir anticiper (donc observer ce qui nous est proche),
- ne pas avoir trop de décalage de vitesse par rapport aux autres usagers
    (voitures, piétons).